top of page

Il serait possible, en parlant de la peinture de Nathalie Autour, de se contenter d’énoncer la primauté de la verticale, récurrente dans toute son œuvre (de 2005 à 2013), de parler de son geste large et sans entraves, qui évoque les arabesques de Gérard Schneider et l’abstraction lyrique. Il serait possible, encore, de décrire  ses jeux de couleurs qui jaillissent, s’emboîtent ou fusionnent dans ses toiles de 2008 et nous rappellent  les ciels déchirés de Zao Wou Ki ou ceux, plus laiteux, de Tal Coat…  

Extrait de Nathalie Autour par Brigitte Ducousso-Mao, historienne de l’art. (suite rubrique UNIVERS)

bottom of page